Aux côté de Son Éminence se tenait une silhouette discrète, en robe de bure. Il ne disait mot, mais la situation lui parlait beaucoup.
Il était monté du Sud, de la Provence, en compagnie du nouvelle archevêque de Rouen, dont dépendait à la fois Rouen et Lisieux, c'est-à-dire à la fois la Normandie et l'Alençon. Ce fut un long et parfois pénible voyage, parfois difficile à supporter, n'eut été de la bonne humeur de la bonne humeur du Cardinal, toujours optimiste, malgré les malaises d'un semblable périples.
Mais l'heure était à la fin de ce voyage. Enfin, pour Savoie. Son état lui demandait de rester à Alençon, alors que S.E. allait continuer son périple. Robert Savoie en était profondément attristé.
Mais une mauvaise nouvelle n'arrivait jamais seule. Et est souvent suivie d'une très belle. Ainsi, cette bénédiction n'était que bonheur. Et une superbe façon de dire au revoir. Pour l'heure. Comme ils auraient forcément à se recroiser sous peu.
Un superbe au revoir? Oui, car bénir une armée qui partait rendre un pays plus sûr était toujours une belle affaire. Une affaire peu simple, mais une bonne chose pour la paix. Il était important de donner bénédiction, afin de d'obtenir le pardon divin, pour ceux qui allaient combattre et pratiquer la violence lorsque c'était ce qu'il y avait à faire, car il fallait bien expliquer au Très Haut les raisons de ces actes souvent condamnables. Mais lorsque c'était fait, c'était toujours pour le mieux.
Et c'est sur une si belle note que ce périple s'achevait.
Savoie était muet, aux coté de Son Éminence, mais c'est parce qu'il était ému de la bravoure de tout ceux qui se dressaient devant lui.
Il était monté du Sud, de la Provence, en compagnie du nouvelle archevêque de Rouen, dont dépendait à la fois Rouen et Lisieux, c'est-à-dire à la fois la Normandie et l'Alençon. Ce fut un long et parfois pénible voyage, parfois difficile à supporter, n'eut été de la bonne humeur de la bonne humeur du Cardinal, toujours optimiste, malgré les malaises d'un semblable périples.
Mais l'heure était à la fin de ce voyage. Enfin, pour Savoie. Son état lui demandait de rester à Alençon, alors que S.E. allait continuer son périple. Robert Savoie en était profondément attristé.
Mais une mauvaise nouvelle n'arrivait jamais seule. Et est souvent suivie d'une très belle. Ainsi, cette bénédiction n'était que bonheur. Et une superbe façon de dire au revoir. Pour l'heure. Comme ils auraient forcément à se recroiser sous peu.
Un superbe au revoir? Oui, car bénir une armée qui partait rendre un pays plus sûr était toujours une belle affaire. Une affaire peu simple, mais une bonne chose pour la paix. Il était important de donner bénédiction, afin de d'obtenir le pardon divin, pour ceux qui allaient combattre et pratiquer la violence lorsque c'était ce qu'il y avait à faire, car il fallait bien expliquer au Très Haut les raisons de ces actes souvent condamnables. Mais lorsque c'était fait, c'était toujours pour le mieux.
Et c'est sur une si belle note que ce périple s'achevait.
Savoie était muet, aux coté de Son Éminence, mais c'est parce qu'il était ému de la bravoure de tout ceux qui se dressaient devant lui.