Je suis très heureux de vous entendre, quant aux anciennes querelles. Sachez que c'est également mon désir le plus intense, à la lumière des voeux de nos deux frères initiateurs de nos ordres en cet ère du renouveau de la foi, à savoir St-Nicolaïde et Bienheureux Pouyss. Les souhaits de ces deux illustres aristotéliciens sont les miens. Je suis heureux d'entendre qu'ils sont les vôtres aussi, mon frère.
Maintenant, je voudrais continuer cette discussion, plutôt en tant que vicaire diocésain de Normandie. Votre soeur m'a informé qu'effectivement, vous aviez nommé un abbé. Je suis heureux que vous ameniez cela dansnotre conversation. Cela dit, je suis assez surpris de cet état de fait. De fait, si l'abbaye connait un abbé lescurien par tradition, il me surprend que la décision émane de votre ordre.
De fait, les deux seules annonces officielles que j'ai trouvé dans les registres romains, qui concernent l'abbaye du Mont St-Michel sont celle-ci:
Ainsi, je ne vois pas en quoi, comme l'a affirmé votre soeur et comme vous le faites encore aujourd'hui, l'abbaye serait "fille lescurienne". Je suis d'accord que la tradition vous y a fait nommé des abbés, et je considère que cette tradition doit être continuée, dans la mesure ou le séculier Rouennais et le régulier lescurien sont deux éléments de notre église qui s'aident, et vivent côte à côte.
Cela dit, il m'apparaît clairement que l'abbaye dépend de l'archevêque de Rouen, et que c'est à lui de nommer les abbés du Mont.
Aussi, soit dit en passant, de décider qui peut y officier, par exemple.
Ainsi, j'aimerais que vous m'expliquiez pourquoi vous avez décidé qui serait abbé -il est vrai que notre archevêque à tardé à répondre à votre demande, mais c'est parce qu'il est en train de s'occuper des négociations de paix de tout le royaume. Il aurait aimé. Mais vu sa réponse tardive, j'ai décidé de m'occupper du dossier, comme discuté
Maintenant, je voudrais continuer cette discussion, plutôt en tant que vicaire diocésain de Normandie. Votre soeur m'a informé qu'effectivement, vous aviez nommé un abbé. Je suis heureux que vous ameniez cela dansnotre conversation. Cela dit, je suis assez surpris de cet état de fait. De fait, si l'abbaye connait un abbé lescurien par tradition, il me surprend que la décision émane de votre ordre.
De fait, les deux seules annonces officielles que j'ai trouvé dans les registres romains, qui concernent l'abbaye du Mont St-Michel sont celle-ci:
Seriella a écrit:Eglise Saint Michel de l'abbaye du Mont Saint Michel
Occupants : ordre lescurien, pélerins, Vicomte du Mont Saint Michel et sa famille
Autorisé par monseigneur Seriella
Prelat responsable : monseigneur Seriella
Père abbé: Kaioh
Seriella a écrit:Nous, Seriella,
En tant qu'Archevêque Métropolitain de Rouen
Au vu des éléments ayant été portés à notre connaissance,
En vertu des pouvoirs qui nous sont conférés par la sainte curie romaine,
Autorisons, le père Kaioh, en qualité de clerc reconnu par l'Église aristotélicienne,
A consacrer l'abbatiale Saint Michel dépendant du diocèse de Lisieux.
Dans le plus parfait respect du rite et du dogme Aristotélicien,
Et à y officier par la suite comme abbé avec la bénédiction de la congrégation.
Pour faire valoir ce que de droit,
Seriella, Archevêque de Rouen,
A Verneuil, le 06 mai 1457.
Ainsi, je ne vois pas en quoi, comme l'a affirmé votre soeur et comme vous le faites encore aujourd'hui, l'abbaye serait "fille lescurienne". Je suis d'accord que la tradition vous y a fait nommé des abbés, et je considère que cette tradition doit être continuée, dans la mesure ou le séculier Rouennais et le régulier lescurien sont deux éléments de notre église qui s'aident, et vivent côte à côte.
Cela dit, il m'apparaît clairement que l'abbaye dépend de l'archevêque de Rouen, et que c'est à lui de nommer les abbés du Mont.
Aussi, soit dit en passant, de décider qui peut y officier, par exemple.
Ainsi, j'aimerais que vous m'expliquiez pourquoi vous avez décidé qui serait abbé -il est vrai que notre archevêque à tardé à répondre à votre demande, mais c'est parce qu'il est en train de s'occuper des négociations de paix de tout le royaume. Il aurait aimé. Mais vu sa réponse tardive, j'ai décidé de m'occupper du dossier, comme discuté