La Soutane de Savoie

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    La vitea de Savoie

    Frère Savoie
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    Message  Frère Savoie Mar 15 Fév - 23:00

    Auprès des Paroissiens

    D’abord, les vagabonds

    La vie de Robert Savoie s’est concentré, tout autant que ces énergies le lui permettaient, à rendre plus agréable, plus seine et plus heureuse, la vie des paroissiens. Les siens, d’abord, ou il a appliqué ces vues et ces convictions, directement sur le terrain. Mais aussi ceux du Royaume de manière plus larges, au travers de différents dispositifs.

    D’abord par son activité strictement aristotélicienne, bien sûr, alors qu’il s’efforçait de tenir au mieux ces cures -donc, dans la vie In Gratibus de tous ces fidèles- mais surtout dans la quotidienneté -entendre par là la vie d’aRPenteur de tous les citoyens de la cité. Ces deux notions seront des constantes dans toute l’action du frère Savoie.

    Ainsi, dans l’entendement du moine, tous les vagabonds ont droit à la bonté du Très Haut. C’est ainsi que rapidement, le frère tente de se rapprocher d’abord du tribun de Montmirail afin de voir ce qui peut être fait. Puis de son maire. Rappellons qu’il est alors en pleine rénovation de l’abbaye St-Louis. Plusieurs mesures seront mise en place.

    D’abord, l’organisation de l’aile des vagabonds, où ils peuvent dormir au chaud plus que dans leurs bicoques de toiles érigées ça et là dans les bas quartier de la ville.

    Aux premières heures de la mise en fonction de l’abbaye, c’est ici que les vagabonds prenaient leurs pains. Depuis, il est distribué directement au village, via la mission St-Louis. On y tient désormais un dortoir, disponible pour tout vagabond désireux de trouver des draps propres, et de jouir du confort des hamacs disponibles. On y donne également une foule d’information de toute sorte.

    Ainsi, ils sont connus des autorités municipales qui leur propose du pain à 2 écus au travers du marché du village. Quelques paroissiens aide le frère, alors diacre de Montmirail, a poursuivre son oeuvre.

    Cependant, en pleine rénovation de l’aile des vagabonds, ce système lui donne une idée: ouvrir un auberge (taverne In Gratibus) qui, par arrêté ducal, permettra de systématiquement offrir du pain à 5 écus. Plus besoin de passer par le marché. Cette mesure est interdite à tous les autres citoyens, sous peine de poursuite en justice ducale.

    C’est la naissance de la mission St-Louis, en toute collaboration avec les autorités mainoise. Un fromage (avant la codification actuelle) composé de lait mais vendu à 20 écus permet de financer les oeuvres. D’abord ouvert à Montmirail, le système est rapidement étendu à tous le Maine, et les duchés avoisinants. La consommation d’alcool n’y est pas incitée, par son prix prohibitif. Évidement, le Ramponneau n’y est pas joué non plus.

    Le réseau des missions s’agrandit dans tout le Maine.

    Grâce à des gens déterminés, tantôt diacres, tantôt simple fidèles, mais tous prêt à aider la cause des vagabonds.

    Ils ont ainsi ouvert une taverne, que nous nommons mission, où peut se dérouler, contrairement à une taverne classique, de bonnes discussions saines sur l’aristotélisme, en ce lieu consacré et béni. Les fidèles, au contraire des églises, peuvent y avoir de franches discussions, ouverte, et échanger sur la chose aristotélisme, avant, ou après la prière. C’est donc, par l’ouverture de ces missions, toute notre église qui en profite. C’est un lieu de prédilection pour y développer de nouvelles vocations…

    On y sert, en collaboration avec les mairies locales, le pain des vagabonds, servit à 5 écus. Un décret adopté pour chaque village fait en sorte que le paysan ou l’artisan, comme l’érudit, qui profiterait de ce service se verrait coupable “d’amandes laissées à la discression du juge” temporel, dépendament de la répétition des abus. Ainsi, il est tenu au minimum.

    On y sert aussi du fromage, préparé à l’abbaye St-Louis.

    Au cout de 20 écus, il n’a couté qu’une dizaine en préparation (le cout d’une bouteille de lait). C’est donc une bonne facon, pour un paroissien, de faire offrande à la mission, assurant ainsi sa survie. Il faut le savoir, taverne, auberge, mission, peut importe le nom, l’institution est sujette aux taxes locales. Voilà donc une façon d’éponger les dépenses récurentes pour ceux qui la tiennent et qui sont souvent laissés seuls à eux même.

    Y est égalament servie la bière de l’abbaye de Tastevin, que l’on trouve au compte-goutte. Cela explique donc sont prix de 85 deniers, mais cela a pour avantage d’éviter les abus, qui ne seraient pas bienvenue, de toute manière, en un lieu comme celui-ci.

    Mais aussi tous les fidèles

    Il octroie donc aux rénovations et à l’organisation de l’abbaye donc, avec son diaconat, la majorité de son énergie. Il comprends que c’est un élément moteur pour la Foi de sa paroisse. Lorsqu’il organise In Gratibus une corvée de bois, les dons affluent, ce qui permettra de mener à bien les rénovations avec les aRPenteurs. Chaque don à un objectif, comme lorsque l’on s’est attaqué au toit de la collégiale. Malheureusement, le détail de ces action c’est perdu avec la perte du forum, mais certaines traces démontrent encore l’entrain paroissial au complet.

    Grâce à la détermination du frère Arsouye, et à la générosité des Montmirallais, la collégiale est enfin de nouveau édifiée. Comme elle fut à son origine, désormais, la foi peut se pratiquer de manière digne dans la vielle école de Louis IX.

    L’effort a été collectif, non seuleument dans l’édification, grâce au coucours de chacun des moines, mais aussi en raison de l’aide de chacun des paroissiens, que ce soit par le don, par la prière, ou par la participation directe.

    Désormais, Montmirail devient un village pieux, mais aussi une communauté qui renoue avec son passé aristotélicien.

    Ses racines, plus que jamais, rattrappent son présent. Et l’abbaye, comme il se faisait un temps, rayonne à nouveau.

    Avec le temps, les missions de l’abbaye s’élargissent, et bientôt, c’est l’orphelinat de la Reyne Blanche qui ré-ouvre ces portes quelques cent vingt-cinq années après sa fermeture. Les aRPentistes qui le décident peuvent donc ouvrir tout un autre pan du jeu. Avec l’aide de la noblesse locale, de nouvelles familles sont trouvées, l’éducation des enfants est assuré, et le rôle de l’adulte, la protection des petits, est assuré.

    Notre mission est d’offrir aux enfant qui n’ont plus cette chance de connaître une vie meilleure, entourée d’un père et d’une mère, dasn un environnement aristotélicien. La vertu entraine la vertu, et ainsi, comme le dit notre dogme, ce n’est pas aux enfant de payer pour les pêchés des parents. Ils pourront donc, en toute circonstance, tenter d’atteindre le paradis, comme chacun de nous.Une cérémonie de baptême rendra les parents tuteurs des enfants devant le Très Haut.

    De sa genèse à sa reconnaissance officielle par l’Église Aristotélicienne, l’histoire de Robert Savoie est lié à celle de l’abbaye St-Louis… Il faut noter que toute cet aRPentage c’est déroulé sur la halle de Montmirail, comme c’était bien le but à la base. Tout l’aspect In Gratibus ajouté est venu avec le temps, comme une valeur ajoutée. Le marché de l’abbaye représente bien les possibilité et les limites du projet.

    Bienvenue. La mission St-Louis est multiple, et seule sa communauté la fait vivre.

    C’est à dire tous les aRPenteurs qui s’y aventurent.

    Sa mission: tous les paroissiens

    Toute sa vie durant, il lui a été très important de rendre le dogme, quelque fois hermétique, accessible à tous. Si certains ne comprenaient pas les enseignement aristotéliciens, c’est peut-être aussi en partie parce qu’ils ne le comprenaient pas. En pédagogue et en homme aimant la simplicité, il s’est ainsi efforcé, lorsque le temps lui permettait, de composer quelques petits traités résumant des aspects important du dogme.

    Ainsi, par exemple, ces parchemins disponibles à l’ancien évêché du Mans:

    Petit traité sur le baptême

    Plusieurs d’entre vous me demandent: pourquoi se faire baptiser?

    J’ai décidé de vous répondre, aujourd’hui.

    Sermon sur l’amour (et le mariage)

    Girtan le Bienheureux nous légué ceci, ou à peu près, sur cette question (je cite de mémoire, hein?):

    -Non, du tout!
    Frère Anguillerusée, votre interlocutrice, me semble se fourvoyer. Celle-ci confond le “Plaisir de chair”, qui est un péché, avec le plaisir de “donner” de l’amour qui lui est un acte généreux, et donc vertueux. Dans ce dernier cas seulement, celui qui donne comme celui qui reçoit, “a le plaisir de la grâce de ce don”.

    Le plaisir éprouvé lors de la gourmandise, est différend selon que vous vous extasiez, avec mesure, en appréciant de la nourriture matérielle, et il devient un “péché de gourmandise” si la gloutonnerie n’a de but que d’assouvir une turpitude.

    Tout est dans la nuance et dans la destination.

    Sur quoi le Père Arsouye à renchéri:

    -Aristote ne proscrit effectivement en rien le plaisir. Dans son saint enseignement, il nous montre que le juste milieu est ce qu’il faut rechercher. Il en va de même avec le plaisir. Débauche de plaisir et ascèse sont l’excès et le défaut. Le plaisir juste et sain est un des pavés de la longue route menant au bonheur.

    Ce à quoi Jeandalf à un jour résumé en:

    -L’amour divin est immuable, l’amour du vin donne mal au crane.

    Le Paroissien dans son clergé

    Bien sûr, la mission première de chacun des paroissiens et de diffuser, a mes côté, la foi aristotélicienne.

    Petit traité sur l’Inquisition Romaine

    Laissez-moi vous rappeller la pensée de Guillaume de Baskerville, célèbre adorateur de St-Francois de Gênes, patron des frères Franciscains:

    Je fut inquisiteur en un temps ou l’inquisition cherchait à guider les âmes, non pour torturer et bruler des corps.

    Jamais seul, la Foi est d’abord une histoire de communauté

    A tous les niveaux de son travail, le frère Savoie à toujours cru en l’importance de s’entourer. Dabord de paroissiens (tel Lysesl, de Montmirail). Puis, de son équipe paroissiales (Lexartley, particulièrement) mais aussi Monseigneur Avalon, évidement S.E. Maisse Arsouye, avec lequel il a construit l’abbaye, tout comme la noblesse locale (Passion, Blinda). Mais bon, cette liste est extrêmement peu exhaustive. La quantité d’hommes et de femmes qui se sont mêlés aux affaires proposées par Savoie est interminable, et ce, à tous les niveaux de la société tant Mainoise que Tourangelle, que du Royaume au complet.


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    Message  Frère Savoie Mar 15 Fév - 23:01

    Auprès des Franciscains

    Un noviciat salvateur

    Arrivé très tôt au couvent de Bruz, invité grâce à Episkopos avant que sa vie ne bascule -il est à noter l’ironie autour de ce fait; longtemps, Savoie fera la chasse à Episkopos l’hérétique, tentant de le ramener sur le droit chemin, puis abandonnant l’idée- il fera plusieurs rencontres trsè importantes pour la suite de sa vie. Il intégrera l’ordre en prononçants ces mots, qu’il respectera toute sa vie:

    Moi, frère, Savoie novice de la promotion Norv, jure devant le très Haut de toujours servir l’Ordre et de le faire passer avant tout, de suivre les recommandations de notre Frère Gardien, de respecter tous mes frères, et de rester pieux, humble et fidèle à nostre Sainte Eglise Aristotélicienne.

    Le jeune novice rencontre d’abord le frère Nico, auquel il doit beaucoup, autant que les valeurs de l’ordre qu’il a créer. Beaucoup de sa personnalité se retrouvent dans les enseignement franciscains, dans ceux de frère Nico.

    Concernant ma vision personnelle :
    -Mettre le plaisir de jeu au centre de tout.
    -Je veux jouer dans un jeu à ambiance historique.
    -Je ne veux pas que les croyances IRL interviennent.
    -Je veux éviter les dérives et les amalgames IRL.
    -Je veux privilégier l’imagination.
    -J’aime les esprits d’initiatives.
    -Ne nous prenons pas au sérieux, apportons une touche d’humour et d’impertinence.
    -Je souhaite que tout soit accessible au maximum de joueurs.
    -Ne pas s’enfermer dans un extrème mais chercher la diversité (des RPs, des idées, ect.)

    Saint Frère Nico

    Les valeurs de l’ordre, bien sûr, qu’il a toujours fait sienne, défendu auprès de Rome et de ces fidèles, mais aussi partagé auprès de chaque novice qu’il a pu formé, se trouvent et retrouvent dans toute son action. Il a trouvé chez les franciscain sa famille perdue, et a bien tenté de l’agrandir au maximum.

    A peine fait novice, il prend le rôle du portier, afin de se familiariser auprès des coutumes bretonnes, lui qui ne l’était pas. Il est ensuite fait frère écolastre, travail qui lui permettra de sonder le dogme dans chacun de se recoins. Pour enseigner, il ne faut pas connaître, mais maîtriser! Cet apprentissage il tenta de le rendre au centuple tout au long de sa vie.

    Que la vie aristotélicienne sorte des églises, sorte de Rome, et se propage à tous les maillons de la cité. Tel je vois mon travail.

    Il avait à coeur la pérennité de l’ordre. C’est ainsi qu’il s’attaqua à continuer l’oeuvre commencée. Outre la formation continue des novices, il mis à jour l‘histoire franciscaine.

    Il s’attela de toutes ses mains à completer les stèles des franciscains. Il tenta, par les discussions avec ces frères, de renforcir la personnalité franciscaine en accord avec leur passé, et leur avenir.

    Beatus, qui prodest, quibus potest
    (Heureux qui vient se rendre utile à ceux qu’il peut aider )

    Un héritage indéniable

    Frère Nico eut un immense paternité sur frère Savoie, probablement sans le savoir lui-même. C’est ainsi que frère Savoie prit comme mission son avenir de frère copiste. Sous les indication du Doyen franciscain, il fouilla la vie de St-Louis, et découvrit entre autre choses qu’il était responsable de l’arrivée du maïs en Royaume Rennaissant.

    A quatorze ans, il est envoyé en campagne, dans le Maine. Sa mère avait fait édifier une abbaye où le petit Louis allait passer ses étés. C’est là où furent implantés les premiers champs de mais, qui, vingt ans plus tard, furent ramenés par Louis de l’Orient. Longtemps, on l’appela le blé d’Inde, comme le Roi en avait reçu cadeau de l’empereur Mongol qui disait tenir celà des Indes. Quand on découvrit la véritable provenance de la graine première (le Mosento) on décida de l’appeler maïs, plutôt. C’est Levan, Petit-fils de Charles petit-fils de Louis, qui en fixera le nom définitif, en 1434.

    « Quand le fruit est mûr, il est temps de le lancer sur l’hérétique ».
    -St-Louis

    Il poussa les recherches fait sur St-François de Gênes, en collaboration avec le frère Arsouye, et plusieurs autres frères du couvent, afin de donner à Rome et à la communauté des fidèles son hagiographie complète.

    *Répandre l’amitié aristotélicienne et la foi à tous les fils de Dieu, en maintenant une unité et une fraternité nécessaire.
    *Rester fidèle à l’Eglise Aristotélicienne et à sa hiérarchie.
    *Vivre dans la charité et le partage avec son prochain.
    *Aimer et prodiguer à autrui le savoir et la connaissance.
    *Apprécier l’ambiance réaliste et historique de son temps.
    *Respecter les commandements théologiques franciscains sur le dogme aristotélicien qui intégre de fait Aristote et Christos le sage.
    *Essayer d’être actif pour l’ordre et la communauté.
    *Etre conscient de l’importance du rôle que l’on tient.
    *Vivre dans le dépouillement pour ne vivre qu’une richesse : l’amour de l’autre.

    Mais bien sur, il retourna l’honneur du savoir en écrivant la vie de St-Nicolaide, a savoir frère Nico.

    Farouche partisan d’une foi réfléchie, frère Nico s’opposait à une vision plus intuitive de la parole divine. Il recherchait la nature réelle de l’univers, par le biais de la métaphysique, qu’il qualifiait de science de l’étant en tant qu’étant. Mais il n’en dédaignait pas pour autant les éléments de la vie courante. Ainsi, il travailla sur la beauté, et conclut qu’elle résultait de certaines proportions et de certaines mesures et rythmes harmonieux. Pour lui, religion et quotidien ne faisaient qu’un, aussi recommanda-t-il que le sage participe à la vie de la cité.

    D’innombrabres inspirations

    C’est au couvent que frère Savoie côtoya S.E. Anguillerusé, son grand compatriote S.E. Maisse Arsouye, S.E. Latan, mais aussi S.E. Clodeweck, et S.E. Rehael, S.E. Verty, S.E. Scarpia, monseigneur Girtan et sa méthode, monseigneur Kurios, monseigneur Kante ainsi que monseigneur Ingresstar 1er, monseigneur Marc l’Ancien, Monseigneur Avalon, ainsi que de nombreux curés, diacres et autres bedeaux qui s’affairèrent tous à la grande édification franciscaine de part le royaume. Tous et chacun, en leurs diverses actions, prises de positions, prêches et prières, ont leur mot à dire dans la vie du frère Savoie.

    Ainsi, lorsqu’il est fait membre du chapitre de l’ordre, c’est en pensant à chaque instant à tous ces frères qu’il pose chaque pierre. Comme Primat de France, c’est avant tout comme frère franciscain qu’il prend parole. Mais cela fait partie du chapitre suivant…

    Son but: reprendre la pierre de frère Nico: faire perdurer l’ordre le plus possible…


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    Message  Frère Savoie Mer 16 Fév - 23:19

    Une vie trop courte

    Il impose sa vision des affaires romaines bien avant son entrée à Rome. Très tôt dans sa vie ecclésiastique, il comprends l’importance de son rôle d’archiviste. Faire le ménage dans les parchemins officialisant les sacrements fait avant lui, pendant son diaconat et préparer les bibliothèques pour les diacres à venir sont pour lui partie prenante de son métier religieux. Il centralisera toutes les archives de Montmirail à l’abbaye St-Louis, certain que ce lieu serait sûr. Il ne pouvait pas penser qu’une incendie les détruirait quelques mois plus tard…

    Cependant, dès sa nomination comme évêque, il poursuit son travail. Fonde ce qui est maintenant le vielle évêché du Mans, bâtiment que l’on peut toujours apercevoir aux côté des nouvelles installations. Puis, fort de son expérience, organise, tel un architecte, les rénovations de l’archevêché de Tours.

    Surtout, il organise la suite du travail accompli, s’assurant que le travail serait fait même après son existence terrestre.

    La vie est plus longue qu’une vie. Il faut regarder la vie devant soi.

    Ainsi, il donne la responsabilité des archives de chaque cure aux curés qui prendront sièges à ces côtés.

    De la même façon, il tient à établir les bases solides des officialités de chacun des évêchés sur lesquels il pose pied. D’abord, dans leurs structures, mais ensuite, dans leurs efficacité. Ainsi, il s’assure de recruter des membres qui pourront s’occuper des dits lieux, mais ensuite, que ces lieux aient pouvoir d’agir. Il s’assure donc que les coutumiers ducales acceptent la justice divine. C’est un héritage dont il fut fier jusqu’au dernier jour qui sera explicité au chapitre suivant. Car c’est au Roy qu’il léguera cet édifice:

    La grandeur d’un royaume se mesure au caractère divin de ces Lois

    Une vie In Gratibus

    Son souhait le plus cher est de lier la vie In Gratibus de celle des aRPenteurs. L’église, de son temps, n’est que trop influencée par la branche des aRPenteurs, selon lui. Tastevin est un désastre. Mais il y croit. Fortement. Il souhaite ouvrir un monastère à St-Louis et qu’il devienne tel qu’un monastère In Gratibus fonctionne. Il y amenera des aRPenteurs, établissant des règles similaires à ce que la vie In Gratibus ressemble, de manière à démontrer qu’un Tastevin peut être viable. Dans les deux aspects de la vie des royaumes. Ainsi, il posera plusieurs pierres en ce sens:

    -Rendre le vie de St-Louis comme celle se faisant à Tastevin, grâce aux subventions ducales:

    Pour aider à la formation des moines, ce qui nous permet de suivre la forme et la lettre du code Levan sur les activitées monacales ig, ou presque, j’annonce en grandes pompes le décret comtal suivant:

    Le conseil comtal met à la disposition des étudiants en théologie un prêt d’une somme de 1500 écus, consenti pour 2 jours, conditionnel au passage au niveau 3 de l’église, et au service du clergé Mainois pour une période minimale de 3 mois. Si une des conditions ne se verrait pas respectée, les fautifs se verraient alors coupable de blasphème (s’ils sont tout de même voie de l’église) ou de trahison (s’ils utilisent cet argent pour choisir une autre voie), et se verraient condamnés à offrir au comté, outre la somme prêtée, une amende de 500 écus.

    Conditionnellement à ce prêt, les étudiant devront avoir passé un minimum de 30 jours au monastère de l’abbaye St-Louis pour faire une formation religieuse adéquate. Sous obtention de se diplôme, les gradués du séminaire seront éligibles au prêt.

    Des preuves d’embauches au moment de l’obtention du prêt seront exigées, ou alors il y aura non respect de l’entente entre les parties.

    Les prêts ne seront pas octroyés du moment où des pays ou villes en développement se verraient être annoncés. Il faudra attendre la fermeture de ces peuplements pour octroyer les prêts.

    Voilà, il ne faut donc plus hésiter. L’expérience St-Louis est expérience monacale rennaissante complète…

    Jusqu’à une dizaine de pensionnaires s’installeront au monastère de St-Louis. Le désir était d’y produire des livres. Seul la méthode de Girtan sera publié…

    Oeuvre plus modeste, effective dans l’immédiat, et éventuellement répendue ça et là dans le royaume, il ouvrira également une première mission, dispositif résolument In Gratibus, mais qui relira les aspirations des aRPenteurs de l’église. Il est définie dans un chapitre précédent.

    De cendres à rennaissance. Tout pour faire un monde. Et tout un monde qui fait St-Louis...

    Prêches et Pastorales

    Dans un dessein de relier l’In Gratibus du monde des aRPenteurs, toujours, le frère Savoie, alors qu’il est évêque du Mans, entreprend un long chantier qui n’est sans doute pas terminé encore aujourd’hui. Avec l’aide immense d’une de ces diaconesses, Lexartey, il tente de définir les Idées Mainoises, de manière à les prêcher et les renforcer au niveau du diocèse. Il sera défini une politique de prêche, avec les idées suivantes:

    - l’Être divin est tout-puissant
    - le bonheur est une forme de contemplation que le sage doit s’efforcer d’atteindre
    - la métaphysique est la science de ce qui est, de l’étant en tant qu’étant
    - les choses sont des copies des idées
    - la beauté résulte de certaines proportions et de certaines mesures et rythmes harmonieux

    Ainsi tentent-ils de définir les idées mainoises non plus dans le coutumier, mais dans les coutumes elles-mêmes des paroissiens.

    Avec quelques clercs d’avant-garde, avant que la chose ne soit institutionnalisé dans tout Rome, Savoie s’assure que les fidèles qui croisent les clercs dont il a la responsabilité le fasse avec des motivations justes, et une connaissance relative du dogme. Il instaure donc très rapidement un catéchisme, à l’idée de ce que deviendront plus tard les pastorales. Évidement, lorsque le sujet se présente à Rome, il en devient un ardent défenseur.

    Il faut en faire au tant que possible, comme je prétent qu’un mauvais aristotélicien est pire qu’un catahumène…
    -Carmélingue Jeandalf

    Ses fonctions épiscopales

    Robert Savoie est nommé Frère franciscain de la promotion Norv le 10 septembre 1454.

    Il est fait archidiacre du Mans le 27 septembre de la même année.

    On le nomme écolastre du couvent franciscain de Bruz le 2 octobre 1454.

    Il devient vicaire du Mans le 29 octocbre 1454.

    Puis, Membre capitulaire franciscain le 5 décembre 1454.

    Il est promu évêque du Mans le 17 janvier 1455.

    Fait frère supérieur de l’abbaye St-Louis le 23 mars 1455.

    Nommé doyen franciscain le 3 avril 1455.

    Élevé Primat de France le 6 août 1455.

    Enfin, fait Cardinal de l’Église Aristotélicienne le 21 novembre 1455.


    Tout juste nommé Primat de l’église de France, il termine sa première adresse aux fidèles ainsi:

    Notre foi a besoin de la présence de tous et chacuns, mais surtout, de la vôtre.

    Je vous salut, et prie pour qu’Aristote soit avec vous.

    A bienôt, mes amis.

    Puis, il s’installa parmi les fidèles, afin d’écouter leurs doléances.

    C’est par le bas, d’abord, qu’il souhaite diriger son Église, tout comme il eut vécu sa vie. Quant aux évêques français, il fit la chasse aux oisifs, tel l’indique son adresse seconde. Son intention était d’offrir un évêque à chaque fidèle, et il le fit agressivement. Désormais, seul l’écclésiaste actif mériterait sa place à Rome. Il travailla à modifier les statuts de l’eaf qui ainsi, a gagné le pouvoir de révoquer tout évêque inactif pendant plus de trente jours.

    Il résuma son action de primat lors de son annonce troisième:

    Nous avons, dans un premier temps, assuré que la représentation soit effective dans tout le royaume de France. Il ne reste que peu de cures sans représentation, grâce à une équipe assidue, des séminaires sérieux, et une collaboration sans faille de toutes les congrégations.

    Grâce au travail soutenu de la nonciature, nous pouvons désormais célébrer le fait que tous les évêchés sont régit par des concordats sérieux. Nous avons celui de Paris, pour un grand nombre de duché découpant un grand nombre d’évêchés, mais en Touraine, par exemple, il restait à affirmer des signatures. Cela est désormais chose faite. Toute la France est désormais régie par des ententes fort aristotéliciennes, pour le bien de tous et chacun.

    L’Inquisition à également sue être efficace et assidue, afin d’affirmer le sérieux du degré d’aristotélisation de notre royaume. Ces deux congrégations sont relié à la Curie, bien sur, mais grâce au travail de nos évêques français (je laisse les autres assemblées faire le point de leur évêchés eux-même), nous avons pu assurer un suivit solide. Le mot est désormais pesant: la chose aristotélicienne n’est pas à prendre à la légère en France. Pour le bien de tous, et chacun.

    Ce qui m’amène également à parler de notre bon Roy Levan le Troisième, ces pairs, ainsi que la noblesse française, qui continuent d’apporter leurs soutiens, leurs efforts, mais aussi leurs contributions afin de nous aider dans notre tâche commune. Sans l’effort continue de chacune des pièces qui forment notre état, notre système social, sans que chacun des ordres de notre Royaume ne mette la main à la pâte, rien de notre édifice ne pourrait ressembler à ce qu’il est à ce jour. Pour le bien de chacun, et de tous.

    Son seul probable regret fut de ne voir institutionnalisé que dans la lettre la religion aristotélicienne comme religion absolue du Royaume de France. Toutefois, c’est sous sa primatie, grâce au concours de tous et chacun, que fut établi, entre autre chose, les trêves dominicales.

    Seul l’espoir nous permettra l’amélioration. Contiuons à marcher, mes frères. Les enfants de demain nous le rendrons bien.


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    Message  Frère Savoie Jeu 17 Fév - 0:04

    Le frère Savoie a toujours pensé que l’Église Aristotélicienne devait être la plus proche de la vie temporelle possible. Si la Foi est affaire de chacun, ce chacun vit dans la cité. L’investir fait donc partie du mandat de frère Savoie, il en est convaincu. Dès qu’il le pu, il tenta donc de convaincre ces pairs, mais aussi ces fidèles de la chose. Même avant de détenir un pose de prélat dans l’église, avec l’appui de ces dirigeants, il a tenté d’augmenter l’influence d’Aristote dans la vie de tous et chacun.

    Nous sommes hommes car nous vivons ensemble

    Son Influence en Province de Tours

    Très tôt, dans le Maine, il se rapproche d’un groupe de noble locaux, qui croient aux mêmes aspirations que lui. D’élections en élections, ils leur sera possible de toujours ajouter plus à l’emprise de l’église locale aux affaires ducales. Ainsi, s’il est d’abord négocié des mandats de pains pour l’abbaye, il en résultera une place permanente à l’évêque au conseil ducal, mais même, éventuellement, l’élection de Père Grimberdine, qui fut précédement curé à Montmirail.

    Lorsqu’il est nommé à Tours, il répète son action, et pose les mêmes briques. Voici quelques exemples, toujours en vigueur, du livre quatre du coutumier de Tourraine:

    D’abord, la présence continue d’un prélat de l’église auprès du conseil ducal:

    II.1 L’Archevêque métropolitain de Tours se voit ouvrir un bureau au Conseil Ducal, afin de l’aider à conformer sa politique aux principes aristotéliciens. L’archevêque s’engage dès lors à ne pas faire partie d’un autre conseil que celui de Touraine.

    Puis, de l’obligation des listes à être baptisée,

    I
    I.4 Le Duc de Touraine doit vivre selon les principes aristotéliciens. Ses conseillers, les fonctionnaires ducaux et municipaux, représentent en public le Duché de Touraine. Ils doivent se comporter en aristotéliciens, et doivent donc être baptisés.

    Le mariage est forcément aristotélicien:

    III.1 Conformément au décret Matrimonium Prohibiti, le “mariage civil”, ou toute autre forme d’union de ce genre ayant vocation à lier officiellement l’homme à la femme et la femme à l’homme est strictement interdit sur les terres du duché de Touraine, que ce soit pour les fidèles ou les non fidèles. Seuls les registres Aristotéliciens, tenus en chaque paroisse, sont reconnus comme officiels et valides.

    Instauration institutionnalisée des missions St-Louis:

    III.2 L’Eglise se doit de porter secours aux pauvres et aux indigents comme l’a fait Christos. Aussi, devra-t-elle ouvrir, dans la mesure de ses possibilités, un hospice ou une maison Dieu dans chaque ville. De plus le curé veillera, en cas de pénuries ou de prix bien supérieurs à ceux qui sont préconisés dans sa ville, à gérer la mise à disposition de stocks de nourritures basiques, qu’il aura recueillies chez les riches, afin de protéger les pauvres des mauvais marchands. A cet effet et si besoin est, une collaboration entre les autorités ducales et municipales et religieuses se mettra en place afin de protéger aux mieux les plus démunis.

    Bourses et prêts pour les élèves de la Voie de l’Église:

    III.6 L’Eglise Aristotélicienne s’engage à tout faire pour placer un curé dans chaque paroisse de Touraine afin que les messes dominicales puissent avoir lieu.
    En contrepartie, le Duché s’engage à soutenir financièrement le clergé tourangeau : le duché aidera les diacres à devenir prêtres par la mise en place de prêt d’écus à taux zéro et sur présentation d’un dossier par le prélat en charge du diocèse concerné. Ce prêt ne sera possible que si le futur prêtre reste en Touraine après son ordination pour officier, et ce pour un délai minimum de 6 mois
    .

    Commutativité des peine entre la justice temporelle et celle de l’officialité aristotélicienne de Tourraine:

    IV.6 De la procédure : L’archevêque de la Province de Tours peut soit juger les fautes décrites dans l’article IV.5, au sein d’une officialité épiscopale, dont le verdict sera mis en application sous la responsabilité de l’Evêque et de sa garde Episcopale, soit les faire juger par le tribunal de Touraine (”livrsé au bras séculier”).

    La main mise de l’église, d’abord sur les affaires mainoises, puis tourangelle, fut ainsi établie.

    Ce qui fut ainsi assuré au travers des coutumiers, outre la permanence d’un clergé qui se renouvelait, est une solide tradition établie dans toutes les sphères de la société. Encore aujourd’hui, la province de Tours demeure une terre fortement aristotélisée, et elle n’est pas prêt à tomber, comme il est fortement inscrit dans son coutumier.

    Son influence dans le Royaume

    Sans doute le frère Savoie demeura un peu frustré de son travail de Primat de France, qui lui demanda temps de temps au niveau de l’église, qu’il n’eut pas trouvé tout le temps nécessaire pour convaincre la Pairie d’établir ce qui fut fait en Tourraine.

    Car la guerre règnait, et ce, un peu partout dans le royaume. Et particulièrement autour de lui.

    Comprenons le sens de la guerre comme de nous révéler notre ardent désir de voir la paix s’instaurer en notre monde. Sus aux militaires. Sus aux bretons qui veulent s’imposer chez nous. Sus aux français qui veulent s’imposer chez les autres. La guerre est nécessaire quant il s’agit de se défendre. Mais jamais lorsqu’il s’agit d’attaquer. Et si guerre doit-il y avoir, alors, qu’elle se face en accord avec nos principes fondamentaux.

    Les corps tombaient, les horreurs de la guerre faisaient rages. Ce n’est qu’après ces troubles qu’il pu faire signer un code d’éthique de l’armée mainoise, avec trèves dominicales et obligation de suivre les préceptes de notre église pour chacun des soldats de domaine royal. Pour l’heure c’était le chaos.

    Alors, entre deux enterrements, il se plaça en émissaire de la Paix à chaque occasion qu’il le put, et travailla entre autre très fort à la fin des hostilité entre le Berry et la Tourraine, en conduisant des négociations de paix à l’abbaye St-Louis.

    En ce neufviesme jour de décembre 1455, suite à de cordiales discussions faites en l’abbaye St-Louis de Montmirail, un traité de paix aristotélicienne et fraternelle est établi entre les duchés du Bourbonnais-Auvergne et du Berry.

    S.E. Savoie, à caque occasion qu’il lui était donné, ne manquait pas de fouetter gentillement la noblesse française, lui rappellant que la survie de l’un (la noblesse) dépendait de celle de l’autre (lÉglise Aristotélicienne). Les deux institutions se devaient protection et encouragement.

    Tout de même, c’est sous sa primatie, grâce au Père Aaron en grande partie, que fut signé le premier concordat royal. Avec le principe des trèves dominicales qui fut éventuellement instauré.

    Gloire à son oeuvre.

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