Auprès des Paroissiens
D’abord, les vagabonds
La vie de Robert Savoie s’est concentré, tout autant que ces énergies le lui permettaient, à rendre plus agréable, plus seine et plus heureuse, la vie des paroissiens. Les siens, d’abord, ou il a appliqué ces vues et ces convictions, directement sur le terrain. Mais aussi ceux du Royaume de manière plus larges, au travers de différents dispositifs.
D’abord par son activité strictement aristotélicienne, bien sûr, alors qu’il s’efforçait de tenir au mieux ces cures -donc, dans la vie In Gratibus de tous ces fidèles- mais surtout dans la quotidienneté -entendre par là la vie d’aRPenteur de tous les citoyens de la cité. Ces deux notions seront des constantes dans toute l’action du frère Savoie.
Ainsi, dans l’entendement du moine, tous les vagabonds ont droit à la bonté du Très Haut. C’est ainsi que rapidement, le frère tente de se rapprocher d’abord du tribun de Montmirail afin de voir ce qui peut être fait. Puis de son maire. Rappellons qu’il est alors en pleine rénovation de l’abbaye St-Louis. Plusieurs mesures seront mise en place.
D’abord, l’organisation de l’aile des vagabonds, où ils peuvent dormir au chaud plus que dans leurs bicoques de toiles érigées ça et là dans les bas quartier de la ville.
Ainsi, ils sont connus des autorités municipales qui leur propose du pain à 2 écus au travers du marché du village. Quelques paroissiens aide le frère, alors diacre de Montmirail, a poursuivre son oeuvre.
Cependant, en pleine rénovation de l’aile des vagabonds, ce système lui donne une idée: ouvrir un auberge (taverne In Gratibus) qui, par arrêté ducal, permettra de systématiquement offrir du pain à 5 écus. Plus besoin de passer par le marché. Cette mesure est interdite à tous les autres citoyens, sous peine de poursuite en justice ducale.
C’est la naissance de la mission St-Louis, en toute collaboration avec les autorités mainoise. Un fromage (avant la codification actuelle) composé de lait mais vendu à 20 écus permet de financer les oeuvres. D’abord ouvert à Montmirail, le système est rapidement étendu à tous le Maine, et les duchés avoisinants. La consommation d’alcool n’y est pas incitée, par son prix prohibitif. Évidement, le Ramponneau n’y est pas joué non plus.
Mais aussi tous les fidèles
Il octroie donc aux rénovations et à l’organisation de l’abbaye donc, avec son diaconat, la majorité de son énergie. Il comprends que c’est un élément moteur pour la Foi de sa paroisse. Lorsqu’il organise In Gratibus une corvée de bois, les dons affluent, ce qui permettra de mener à bien les rénovations avec les aRPenteurs. Chaque don à un objectif, comme lorsque l’on s’est attaqué au toit de la collégiale. Malheureusement, le détail de ces action c’est perdu avec la perte du forum, mais certaines traces démontrent encore l’entrain paroissial au complet.
Avec le temps, les missions de l’abbaye s’élargissent, et bientôt, c’est l’orphelinat de la Reyne Blanche qui ré-ouvre ces portes quelques cent vingt-cinq années après sa fermeture. Les aRPentistes qui le décident peuvent donc ouvrir tout un autre pan du jeu. Avec l’aide de la noblesse locale, de nouvelles familles sont trouvées, l’éducation des enfants est assuré, et le rôle de l’adulte, la protection des petits, est assuré.
De sa genèse à sa reconnaissance officielle par l’Église Aristotélicienne, l’histoire de Robert Savoie est lié à celle de l’abbaye St-Louis… Il faut noter que toute cet aRPentage c’est déroulé sur la halle de Montmirail, comme c’était bien le but à la base. Tout l’aspect In Gratibus ajouté est venu avec le temps, comme une valeur ajoutée. Le marché de l’abbaye représente bien les possibilité et les limites du projet.
C’est à dire tous les aRPenteurs qui s’y aventurent.
Sa mission: tous les paroissiens
Toute sa vie durant, il lui a été très important de rendre le dogme, quelque fois hermétique, accessible à tous. Si certains ne comprenaient pas les enseignement aristotéliciens, c’est peut-être aussi en partie parce qu’ils ne le comprenaient pas. En pédagogue et en homme aimant la simplicité, il s’est ainsi efforcé, lorsque le temps lui permettait, de composer quelques petits traités résumant des aspects important du dogme.
Ainsi, par exemple, ces parchemins disponibles à l’ancien évêché du Mans:
Petit traité sur le baptême
Le Paroissien dans son clergé
Petit traité sur l’Inquisition Romaine
Jamais seul, la Foi est d’abord une histoire de communauté
A tous les niveaux de son travail, le frère Savoie à toujours cru en l’importance de s’entourer. Dabord de paroissiens (tel Lysesl, de Montmirail). Puis, de son équipe paroissiales (Lexartley, particulièrement) mais aussi Monseigneur Avalon, évidement S.E. Maisse Arsouye, avec lequel il a construit l’abbaye, tout comme la noblesse locale (Passion, Blinda). Mais bon, cette liste est extrêmement peu exhaustive. La quantité d’hommes et de femmes qui se sont mêlés aux affaires proposées par Savoie est interminable, et ce, à tous les niveaux de la société tant Mainoise que Tourangelle, que du Royaume au complet.
D’abord, les vagabonds
La vie de Robert Savoie s’est concentré, tout autant que ces énergies le lui permettaient, à rendre plus agréable, plus seine et plus heureuse, la vie des paroissiens. Les siens, d’abord, ou il a appliqué ces vues et ces convictions, directement sur le terrain. Mais aussi ceux du Royaume de manière plus larges, au travers de différents dispositifs.
D’abord par son activité strictement aristotélicienne, bien sûr, alors qu’il s’efforçait de tenir au mieux ces cures -donc, dans la vie In Gratibus de tous ces fidèles- mais surtout dans la quotidienneté -entendre par là la vie d’aRPenteur de tous les citoyens de la cité. Ces deux notions seront des constantes dans toute l’action du frère Savoie.
Ainsi, dans l’entendement du moine, tous les vagabonds ont droit à la bonté du Très Haut. C’est ainsi que rapidement, le frère tente de se rapprocher d’abord du tribun de Montmirail afin de voir ce qui peut être fait. Puis de son maire. Rappellons qu’il est alors en pleine rénovation de l’abbaye St-Louis. Plusieurs mesures seront mise en place.
D’abord, l’organisation de l’aile des vagabonds, où ils peuvent dormir au chaud plus que dans leurs bicoques de toiles érigées ça et là dans les bas quartier de la ville.
Aux premières heures de la mise en fonction de l’abbaye, c’est ici que les vagabonds prenaient leurs pains. Depuis, il est distribué directement au village, via la mission St-Louis. On y tient désormais un dortoir, disponible pour tout vagabond désireux de trouver des draps propres, et de jouir du confort des hamacs disponibles. On y donne également une foule d’information de toute sorte.
Ainsi, ils sont connus des autorités municipales qui leur propose du pain à 2 écus au travers du marché du village. Quelques paroissiens aide le frère, alors diacre de Montmirail, a poursuivre son oeuvre.
Cependant, en pleine rénovation de l’aile des vagabonds, ce système lui donne une idée: ouvrir un auberge (taverne In Gratibus) qui, par arrêté ducal, permettra de systématiquement offrir du pain à 5 écus. Plus besoin de passer par le marché. Cette mesure est interdite à tous les autres citoyens, sous peine de poursuite en justice ducale.
C’est la naissance de la mission St-Louis, en toute collaboration avec les autorités mainoise. Un fromage (avant la codification actuelle) composé de lait mais vendu à 20 écus permet de financer les oeuvres. D’abord ouvert à Montmirail, le système est rapidement étendu à tous le Maine, et les duchés avoisinants. La consommation d’alcool n’y est pas incitée, par son prix prohibitif. Évidement, le Ramponneau n’y est pas joué non plus.
Le réseau des missions s’agrandit dans tout le Maine.
Grâce à des gens déterminés, tantôt diacres, tantôt simple fidèles, mais tous prêt à aider la cause des vagabonds.
Ils ont ainsi ouvert une taverne, que nous nommons mission, où peut se dérouler, contrairement à une taverne classique, de bonnes discussions saines sur l’aristotélisme, en ce lieu consacré et béni. Les fidèles, au contraire des églises, peuvent y avoir de franches discussions, ouverte, et échanger sur la chose aristotélisme, avant, ou après la prière. C’est donc, par l’ouverture de ces missions, toute notre église qui en profite. C’est un lieu de prédilection pour y développer de nouvelles vocations…
On y sert, en collaboration avec les mairies locales, le pain des vagabonds, servit à 5 écus. Un décret adopté pour chaque village fait en sorte que le paysan ou l’artisan, comme l’érudit, qui profiterait de ce service se verrait coupable “d’amandes laissées à la discression du juge” temporel, dépendament de la répétition des abus. Ainsi, il est tenu au minimum.
On y sert aussi du fromage, préparé à l’abbaye St-Louis.
Au cout de 20 écus, il n’a couté qu’une dizaine en préparation (le cout d’une bouteille de lait). C’est donc une bonne facon, pour un paroissien, de faire offrande à la mission, assurant ainsi sa survie. Il faut le savoir, taverne, auberge, mission, peut importe le nom, l’institution est sujette aux taxes locales. Voilà donc une façon d’éponger les dépenses récurentes pour ceux qui la tiennent et qui sont souvent laissés seuls à eux même.
Y est égalament servie la bière de l’abbaye de Tastevin, que l’on trouve au compte-goutte. Cela explique donc sont prix de 85 deniers, mais cela a pour avantage d’éviter les abus, qui ne seraient pas bienvenue, de toute manière, en un lieu comme celui-ci.
Mais aussi tous les fidèles
Il octroie donc aux rénovations et à l’organisation de l’abbaye donc, avec son diaconat, la majorité de son énergie. Il comprends que c’est un élément moteur pour la Foi de sa paroisse. Lorsqu’il organise In Gratibus une corvée de bois, les dons affluent, ce qui permettra de mener à bien les rénovations avec les aRPenteurs. Chaque don à un objectif, comme lorsque l’on s’est attaqué au toit de la collégiale. Malheureusement, le détail de ces action c’est perdu avec la perte du forum, mais certaines traces démontrent encore l’entrain paroissial au complet.
Grâce à la détermination du frère Arsouye, et à la générosité des Montmirallais, la collégiale est enfin de nouveau édifiée. Comme elle fut à son origine, désormais, la foi peut se pratiquer de manière digne dans la vielle école de Louis IX.
L’effort a été collectif, non seuleument dans l’édification, grâce au coucours de chacun des moines, mais aussi en raison de l’aide de chacun des paroissiens, que ce soit par le don, par la prière, ou par la participation directe.
Désormais, Montmirail devient un village pieux, mais aussi une communauté qui renoue avec son passé aristotélicien.
Ses racines, plus que jamais, rattrappent son présent. Et l’abbaye, comme il se faisait un temps, rayonne à nouveau.
Avec le temps, les missions de l’abbaye s’élargissent, et bientôt, c’est l’orphelinat de la Reyne Blanche qui ré-ouvre ces portes quelques cent vingt-cinq années après sa fermeture. Les aRPentistes qui le décident peuvent donc ouvrir tout un autre pan du jeu. Avec l’aide de la noblesse locale, de nouvelles familles sont trouvées, l’éducation des enfants est assuré, et le rôle de l’adulte, la protection des petits, est assuré.
Notre mission est d’offrir aux enfant qui n’ont plus cette chance de connaître une vie meilleure, entourée d’un père et d’une mère, dasn un environnement aristotélicien. La vertu entraine la vertu, et ainsi, comme le dit notre dogme, ce n’est pas aux enfant de payer pour les pêchés des parents. Ils pourront donc, en toute circonstance, tenter d’atteindre le paradis, comme chacun de nous.Une cérémonie de baptême rendra les parents tuteurs des enfants devant le Très Haut.
De sa genèse à sa reconnaissance officielle par l’Église Aristotélicienne, l’histoire de Robert Savoie est lié à celle de l’abbaye St-Louis… Il faut noter que toute cet aRPentage c’est déroulé sur la halle de Montmirail, comme c’était bien le but à la base. Tout l’aspect In Gratibus ajouté est venu avec le temps, comme une valeur ajoutée. Le marché de l’abbaye représente bien les possibilité et les limites du projet.
Bienvenue. La mission St-Louis est multiple, et seule sa communauté la fait vivre.
C’est à dire tous les aRPenteurs qui s’y aventurent.
Sa mission: tous les paroissiens
Toute sa vie durant, il lui a été très important de rendre le dogme, quelque fois hermétique, accessible à tous. Si certains ne comprenaient pas les enseignement aristotéliciens, c’est peut-être aussi en partie parce qu’ils ne le comprenaient pas. En pédagogue et en homme aimant la simplicité, il s’est ainsi efforcé, lorsque le temps lui permettait, de composer quelques petits traités résumant des aspects important du dogme.
Ainsi, par exemple, ces parchemins disponibles à l’ancien évêché du Mans:
Petit traité sur le baptême
Plusieurs d’entre vous me demandent: pourquoi se faire baptiser?
J’ai décidé de vous répondre, aujourd’hui.
Sermon sur l’amour (et le mariage)
Girtan le Bienheureux nous légué ceci, ou à peu près, sur cette question (je cite de mémoire, hein?):
-Non, du tout!
Frère Anguillerusée, votre interlocutrice, me semble se fourvoyer. Celle-ci confond le “Plaisir de chair”, qui est un péché, avec le plaisir de “donner” de l’amour qui lui est un acte généreux, et donc vertueux. Dans ce dernier cas seulement, celui qui donne comme celui qui reçoit, “a le plaisir de la grâce de ce don”.
Le plaisir éprouvé lors de la gourmandise, est différend selon que vous vous extasiez, avec mesure, en appréciant de la nourriture matérielle, et il devient un “péché de gourmandise” si la gloutonnerie n’a de but que d’assouvir une turpitude.
Tout est dans la nuance et dans la destination.
Sur quoi le Père Arsouye à renchéri:
-Aristote ne proscrit effectivement en rien le plaisir. Dans son saint enseignement, il nous montre que le juste milieu est ce qu’il faut rechercher. Il en va de même avec le plaisir. Débauche de plaisir et ascèse sont l’excès et le défaut. Le plaisir juste et sain est un des pavés de la longue route menant au bonheur.
Ce à quoi Jeandalf à un jour résumé en:
-L’amour divin est immuable, l’amour du vin donne mal au crane.
Le Paroissien dans son clergé
Bien sûr, la mission première de chacun des paroissiens et de diffuser, a mes côté, la foi aristotélicienne.
Petit traité sur l’Inquisition Romaine
Laissez-moi vous rappeller la pensée de Guillaume de Baskerville, célèbre adorateur de St-Francois de Gênes, patron des frères Franciscains:
Je fut inquisiteur en un temps ou l’inquisition cherchait à guider les âmes, non pour torturer et bruler des corps.
Jamais seul, la Foi est d’abord une histoire de communauté
A tous les niveaux de son travail, le frère Savoie à toujours cru en l’importance de s’entourer. Dabord de paroissiens (tel Lysesl, de Montmirail). Puis, de son équipe paroissiales (Lexartley, particulièrement) mais aussi Monseigneur Avalon, évidement S.E. Maisse Arsouye, avec lequel il a construit l’abbaye, tout comme la noblesse locale (Passion, Blinda). Mais bon, cette liste est extrêmement peu exhaustive. La quantité d’hommes et de femmes qui se sont mêlés aux affaires proposées par Savoie est interminable, et ce, à tous les niveaux de la société tant Mainoise que Tourangelle, que du Royaume au complet.
Dernière édition par Admin le Mer 16 Fév - 21:52, édité 1 fois